Ainsi, le mobilier de repos (bancs, tables de pique-nique…), les édifices de propreté (sanisettes, poubelles de tri sélectifs, cendriers…), les boîtes aux lettres, l’éclairage, les différents panneaux servant à la communication et à l’information, les aires de jeux pour enfants, les panneaux et les barrières servant à réguler la circulation, les points d’eau potable, les abris de bus permettant aux usagers de patienter à l’abri des intempéries, doivent en premier lieu répondre aux besoins et attentes des habitants de la ville.
Différents types de matériaux sont utilisés pour la fabrication de mobilier urbain : métal, bois, plastique recyclé, etc. Selon que l’on souhaitera mettre en valeur les espaces de façon design, écologique ou plutôt champêtre on se tournera vers l’un ou l’autre de ces matériaux.
Si l’image de la ville doit être valorisée le choix du mobilier urbain doit aussi répondre à d’autres critères tels que le coût, la résistance et la durabilité. Ainsi, le climat de la région dans laquelle on souhaite installer du mobilier urbain est très important (forte chaleur, humidité, gel…).
Tout le mobilier urbain
Le mobilier urbain répond à des normes strictes en ce qui concerne la sécurité et l’accessibilité. Ainsi, l’arrêté du 18/09/2012 définit les « Prescriptions techniques pour l’accessibilité de la voirie et des espaces publics ». C’est ainsi que le choix, l’achat et l’installation de mobilier urbain doit véritablement répondre à une réflexion en amont pour éviter de se retrouver dans un paysage qui ne satisfasse pas aux obligations réglementaires, révélant une image de la ville à l’opposé de ses valeurs ou ne répondant pas aux besoins de ses habitants.